Avis aux amateurs de belles images, voici des photographies aériennes réalisées par un photographe breton, Guillaume Le Chanu, qui nous offre une vue plongeante et splendide sur les trésors de la magnifique Bretagne. Ces images à couper le souffle sont réalisées à l’aide d’un drone, attention les yeux !
Le talent d’un photographe passionné
Vous appréciez ces photos aériennes made in Bretagne? Et pourtant ça n’est qu’un petit aperçu de l’immense talent de Guillaume Le Chanu, photographe et réalisateur indépendant. Ce Rennais nous offre à travers le drone un point de vue imprenable sur les beautés des côtes Bretonne, de Saint-Malo en passant par la pointe du décollé et jusqu’au Mont Saint-Michel (qui n’est pas « officiellement » en région Bretagne, mais le cœur y est). Ce jeune photographe passionné est très sollicité et il est même aller faire voler son drone jusqu’en Martinique, à la demande de l’office de tourisme local.
Si vous aussi vous souhaitez des prises de vues aériennes de grande qualité vous pouvez vous rendre sur le site www.guillaumelechanu.com
La particularité de la photographie au drone
Depuis maintenant quelques années, l’utilisation d’un drone pour prendre des photos est une pratique de plus en plus populaire et va au-delà de l’utilisation purement amateur. La photographie de mariage, par exemple, commence à s’appuyer de plus en plus souvent sur des drones, grâce à la possibilité de changer le point de vue classique du photographe et donc de proposer quelque chose de différent aux mariés. C’est également valable pour la vidéo d’entreprise.
Avant les drones, il n’y avait pas d’autre solution que l’hélicoptère. Les photographes qui voulaient prendre des photos d’en haut étaient obligés d’en louer un et de s’équiper de téléobjectifs, le tout bien sûr au prix de frais décidément élevés, voire prohibitifs : la location d’un hélicoptère « classique » peut coûter jusqu’à 1000 euros de l’heure. Puis les drones sont arrivés.
Que peut offrir un drone à un photographe par rapport à un hélicoptère ?
Outre le prix, la première chose à prendre en compte est l’endroit où le drone vole : seulement à quelques mètres (voire centimètres pour les plus courageux) au-dessus du sol. Un bel avantage par rapport à un hélicoptère qui doit au contraire se déplacer à plusieurs mètres au-dessus de nos têtes. Sans parler de la possibilité de passer à travers les arbres, les obstacles, et de se glisser dans les coins étroits. Bien sûr, il faut faire des compromis en ce qui concerne le type de photos prises parce que l’appareil photo intégré au drone est ce qu’il est, certainement pas à la hauteur d’un appareil reflex tant en termes de boîtier que d’objectif. Au contraire, l’objectif unique est l’un des principaux problèmes des drones : ils sont très petits et avec une focale fixe.
L’utilisation de votre appareil photo reflex avec un drone est loin d’être impossible.
Il change évidemment complètement le support, c’est-à-dire le drone lui-même qui doit soulever non plus les quelques grammes d’une micro caméra mais un appareil qui peut facilement atteindre plusieurs kilos de poids total (selon l’objectif utilisé). Un tel dispositif est évidemment beaucoup plus encombrant et coûteux.
Mais comme vous pouvez le voir, ces limitations inhérentes au drone n’empêche pas les photographes talentueux, comme Guillaume Le Chanu, d’offrir à nos pupilles des résultats splendides !